L’AGENCE ALGÉRIENNE POUR LE RAYONNEMENT CULTUREL CÉLÈBRE YENNAYER 2970 A DAR ABDELLATIF

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Sous le patronage de Madame la Ministre de la culture, L’Agence Algérienne pour le Rayonnement Culturel (AARC) a le plaisir de vous annoncer l’organisation d’une manifestation culturelle et artistique à Dar Abdellatif à l’occasion du nouvel an amazigh Yennayer (2970), et ce le 12 janvier 2020 à partir de 13h.

Le programme:
13H : La projection d’un film long métrage de fiction « Tamachahut N Selyuna » du réalisateur Aziz Chelmouni.
Synopsis:
Il était une fois, Selyuna une jolie et sage princesse. Elle a pris refuge dans la forêt pour fuir le serment de son frère de la prendre comme épouse ; après la découverte de son cheveu dans une fontaine. La malédiction jetée par Selyuna est tombé sur Mastene lorsqu’il lui coupa le doigt ; un os s’est implanté dans son pied, personne n’a pu le soigner. Selyuna malheureuse a décidé de revenir pour le guérir, sous condition que son frère se rétracte sur son serment. Qui commence bien se termine bien.
14H30: Une exposition intitulée « Héritage ancestral » signée l’artiste plasticien Karim Sergoua.
Biographie :
Karim Sergoua est un artiste plasticien qui multiplie les expériences. Diplômé de l’école nationale des Beaux-arts d’Alger en 1985 (option communication visuelle), il a poursuivi ses études à l’Ecole supérieure des beaux arts jusqu’en 1989.
Karim a exposé régulièrement de manière individuelle ou collective en Algérie et dans le monde (Turin, Paris, Valence, Sarajevo, Marseille, Tétouan, Lisbonne, Milan…).

15H : Présentation et séance vente-dédicaces de l’ouvrage intitulé « Conte et légendes berbères d’Algerie » de Mohamed Benmeddour, chercheur en patrimoine et en Histoire.
15H30: Un spectacle de chant et de poésie amazigh animé par Celia Ould Mohand et Bilal Mohri pour le chant et Ait Gherbi Ouiza, Bey Mouloud et Manseri hacene pour la poésie.

Biographies :
Celia Ould Mohand, native de la ville d’Oran, le 25/02/2000, cette chanteuse et comédienne se forme dans la musique kabyle, musique andalouse et classique auprès des associations et du « Conservatoire Ahmed Wahbi », une persévérance qui lui a valu des récompenses bien méritées à l’instar du prix de la Meilleure soliste féminine lors du « festival Hawzi à Blida 2010 », le premier prix du « Concours National de la chanson Amazigh » à « Tizi Ouzou » 2014, et le premier prix à ″Alhan wa chabab″ en 2016.
Bilal Mohri Natif de « Agoussim » village de « Bouzeguene », Bilal Mohri suit ses études à l’Université Mouloud Mammeri de « Tizi Ouzou », du haut de ses 22 ans, il chante et joue de la guitare, grâce à quoi, il remporte le prix de « La plus belle voix kabyle 2017 » lors du concours national de la chanson amazigh, peu de temps après, en 2018, il participe à ″Alhan wa chabab″ et décroche le prix du jury.